Généralités :
→ Il faut distinguer le syndrome de larva migrans cutanée, de Larva Migrans Viscérale.
→ Conditions :
– Les parasites non inféodés à l’homme.
– Contamination doit être massive à l’homme.
Larva Migrans Viscérale:
→  Affection due à l’ascaris du chien (Toxocara canis) ou du chat (toxocara cat).
Le cycle chez le chien est identique au cycle d’ascaris de l’homme chez l’homme.
Cycle :
Chez l’homme :
Infestation par voie orale à partir d’œuf du chien ou chat embryonné en milieu extérieur → T.D de l’homme → Larve au niveau du duodénum → Passage dans le sang, la lymphe → Foie → Cœur → larves vont être envoyés dans tous les viscères → Syndrome de Larva Migrans Viscérale.
→ Peu de cas décrit (≈ 300) car inaperçus.
Symptomatologie :
– Pulmonaire : toux, crise d’asthme.
– Hépatomégalie.
– Cerveau : crises épileptiques.
– Cœur → véhicule de virus …
– Œil : rétinite soignée uniquement par énucléation (=enlever l’œil)
Diagnostic :
– Eosinophilie augmenté
– IDR, IF.
Traitement :
      – Notézine (car pénètre dans les viscères).
Larva Migrans Cutanée :
– Ankylostome des chiens.
– Ankylostome Brasiliensis.
Chez le chien : le cycle est identique au cycle de l’Ankylostome duodénale chez l’homme.
Chez l’homme :
La pénétration par les larves S. E. est cutanée et on voit alors la larve sous la peau.
Les plus exposés : enfants et femme au niveau des fesses (plages touchés par selles des chiens).
Il s’agit de surélévation blanchâtre entourée de zone érythémateuse.

Traitement :
8 ans de traitement.

Conclusion :
Attention au syndrome de Larva Curens (qui court) qui est dû à la pénétration des larves d’anguillule dans la peau autour du sphincter anal.